Pour ajouter l’article à vos favoris identifiez-vous.
Prix bas, crises sanitaires, aléas climatiques... L'élevage allaitant français reste assez fragile. C'est pour cette raison que les réseaux d'élevage Inosys ont évalué différents systèmes d'élevage et leur résilience. L'objectif : identifier les plus adaptés et relever les points d'intérêt pour l'élevage allaitant de demain.
En étudiant une centaine d'élevages allaitants (76 naisseurs et 48 naisseurs engraisseurs) sur la période 2005-2015, les réseaux d'élevage Inosys affirment : « La taille des exploitations augmente, la productivité également. Cela a permis un accroissement de la rémunération permise, mais au détriment de l'efficacité économique des systèmes (pas d'économie d'échelles, rentabilité des capitaux dégradée). »
Dans le cadre du projet sur les systèmes d'avenir en viande bovine, des éleveurs des différents bassins de production ont listé leurs enjeux prioritaires :
Des simulations ont permis d'identifier plusieurs systèmes d'avenir pour l'élevage bovin. Avant de les lister, voici leurs caractéristiques communs, à retenir pour une meilleure résilience : améliorer l'efficience alimentaire, maximiser l'utilisation de l'herbe et rechercher davantage de précocité.
Ci-dessous, les scénarios d'avenir retenus pour un élevage allaitant durable sous 3 axes (économique, social et environnemental) :
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
GBR Banette établit un nouveau record de production en Holstein avec 184 909 kg de lait
« S'installer en couple en lait : notre projet de vie »
Les 100 Prim’holstein qui ont produit le plus de lait en cumulé en 2025
Réouverture de l’export de bovins vif : « il n’y a pas de raison que les cours s’effondrent »
Marge sur coût alimentaire : 56 000 € d’écart entre la moyenne et les meilleurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Y a-t-il vraiment un plafond de verre pour le prix de la viande bovine ?