Malgré les mauvaises conditions climatiques de l'année, les rendements 2020 de betterave fourragère restent très corrects. À plus de 13 t MS/ha, cela représente près de 15 000 UF/ha, de quoi fournir un aliment de qualité et en quantité pour le troupeau au moment où l'herbe se fait rare.
Au vu de l'analyse, votre maïs fourrage est-il plutôt « fibres » ou « amidon » ? Son profil énergétique permettra de déterminer le niveau et le type de complémentation à apporter. Et ce, en vaches laitières comme en bovins viande.
Bruno Massart élève 180 vaches et leur suite à Soignies en Belgique. En modifiant sa stratégie d'alimentation (notamment fourragère), il est parvenu à diminuer la consommation de concentrés du troupeau tout en maintenant sa production. Il témoigne dans une vidéo réalisée dans le cadre du projet Protecow.
Autonomie alimentaire, vie du sol, stockage du carbone, sécurisation financière... : des agriculteurs et des scientifiques présentent les atouts des systèmes de polyculture-élevage.
Antoine Thibault (alias Agriskippy sur sa chaine Youtube) nous partage son retour d'expérience quant à un essai réalisé sur son exploitation dans l'Eure avec les variétés de maïs m3 de Pioneer.
Vincent Dechaux en Haute-Marne (52) et Jérome Laval en Isère (38) sont tous les deux éleveurs laitiers. Ils ne se connaissent pas mais ont plusieurs points communs, notamment leur conduite d'un système fourrager performant. L'un misant sur l'herbe et l'autre sur le sorgho, ils témoignent de leurs pratiques.
Précocité, productivité, valeurs alimentaires, résistance... Sur quels critères se baser pour faire le bon choix ? Les experts d'Arvalis affirment que la précocité adaptée au contexte et la valorisation du progrès génétique sont les deux axes prioritaires. Ils expliquent pourquoi et comment en détails.
Moins d'un agriculteur sur deux récolte son maïs au bon stade. Les enjeux sont pourtant multiples, depuis l'évident rendement de la parcelle, avec des conséquences en cascade jusqu'aux performances des animaux, pour une perte évaluée entre 1 000 et 2 000 euros par silo. Participez au webinaire organisé par Web-agri en partenariat avec Mas Seeds pour découvrir à quel point viser la bonne date pour récolter son maïs est primordial et les leviers pour y parvenir. Alors que le contexte climatique va encore compliquer le problème, le choix variétal est le premier à activer. Cet événement sera également l'occasion d'échanger en direct avec des experts du sujet.
Avec sa productivité fourragère intéressante malgré les contextes séchants, la luzerne est une plante qui s'adapte aux aléas climatiques actuels. Attention cependant, elle n'aime ni le tassement, ni l'hydromorphie.
Lely propose une formule de location de son robot repousse fourrage Juno. Un bon moyen de tester le produit avant de l'acheter. Et la marque pourrait bien aller plus loin en proposant prochainement la location de ses robots de traite Astronaut.
Au champ, à la récolte, puis au moment de la conception du silo, le remplissage, le tassage, le bâchage, l'ajout du conservateur et le désilage, autant d'étapes qui conditionnent la qualité de votre fourrage. Et s'agissant de bien faire, il faut penser volume, mais aussi valeur et risque sanitaire. Venez en parler au cours d'un webinaire dédié à l'ensilage organisé par Web-agri en partenariat avec Lallemand.
Comment les éleveurs s'adaptent-ils aux étés chauds et secs qui pénalisent la production d'herbe ? Quelles solutions mettent-ils en ½uvre ? Sur quelles plantes fourragères peuvent-ils miser à l'avenir ? Retrouvez dans ce dossier les stratégies d'adaptation fréquemment adoptées, des témoignages d'éleveurs et des conseils d'experts pour faire face aux sécheresses récurrentes.
Du maïs fourrage enrubanné, quelle drôle d'idée ! Avez-vous déjà vu ça ? Quel intérêt à enrubanner du maïs plutôt que le conserver en ensilage ? Sur les réseaux sociaux, des éleveurs nous en disent un peu plus.
Avec un lait transformé en fromage sous l'AOP Laguiole, Benoit Rozière a su adapter son système au cahier des charges et à son territoire. Cela passe par le pâturage mais aussi la race du troupeau et la rotation des cultures.
Parce que tous les éleveurs ne sont pas autonomes en paille et parce qu'avec la sécheresse et le manque de fourrage, la paille pourrait bien valoir un prix d'or dans les années à venir, nous vous proposons ce livre blanc sur les matériaux de litière alternatifs. Sans réformer totalement l'aire paillée pour passer en logettes, il existe d'autres solutions comme les plaquettes de bois, le miscanthus, le sable de dolomie, les balles de riz, le calcaire broyé... Panorama, témoignages d'éleveurs et chiffres repères, notamment des coûts.