Avec une offre stable et une demande dynamique, le marché du jeune bovin s’est nettement amélioré et le stock d’animaux en ferme est revenu à la normale. Pour la FNB, il n’y a « donc plus aucune excuse pour justifier les prix, inférieurs d’environ un euro au coût de production des éleveurs, toujours pratiqués par leurs acheteurs ».
Le syndicat demande donc une nouvelle réunion de l’interprofession pour « expliquer l’inexplicable » ou « justifier l’injustifiable » et surtout, « trouver une réponse concrète et rapide à ce nouveau dysfonctionnement de marché ».
La FNB déplore une situation qui contribue « une fois de plus, à véhiculer une image déplorable de ce secteur qui, de semaine en semaine, court toujours plus à sa propre perte » et incite les sections départementales à demander plus d’explications à leurs opérateurs.
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