Le virus de l'influenza aviaire, communément appelée grippe aviaire, a été retrouvé « sur des populations d'oiseaux sauvages (bécasseaux maubèches) en hivernage », a indiqué la préfecture dans un communiqué.
Cette situation « témoigne de risques sanitaires importants pour l'avifaune sauvage et pour les élevages avicoles », a précisé la préfecture.
Face à un risque de « diffusion du pathogène », les autorités estiment qu'il est nécessaire de « limiter les facteurs de dérangement des oiseaux sauvages pour contenir ce risque de dispersion ». Ainsi, la préfecture de la Manche a pris un arrêté de suspension de la chasse sur le domaine public maritime entre le phare du Roc à Granville et jusqu'à la limite Manche-Ille-et-Vilaine jusqu'au 31 janvier.
Au 21 janvier, la France comptait 378 foyers confirmés d'« influenza aviaire hautement pathogène » dans des élevages de canards et de volailles, essentiellement dans le Sud-Ouest, selon les chiffres du ministère de l'agriculture.
« Nos vaches produisent en moyenne 16 200 kg de lait »
Les refus de dossiers de financement se multiplient dans les concessions agricoles
Viande bovine : + 8 % en rayon, contre + 34 % payés aux producteurs
Le drenchage, la solution pour réactiver le rumen
Le lait sur le marché Spot ne vaut presque plus rien
Les systèmes robot de traite redeviennent plus compétitifs que les salles de traite
« Certes tout n’est pas tout beau tout rose, mais il faut positiver ! »
« Bloquer les abattages, c’est risquer la dermatose bovine dans toute la France »
L'UE promet de mieux contrôler ses importations agricoles
Économie, travail, environnement : « S’installer en lait 100 % herbe, mon triplé gagnant »