Comme lui, il a commencé sa carrière politique comme jeune giscardien avant de se rallier à Jacques Chirac. En mai 2002, il avait obtenu son premier poste ministériel en étant nommé secrétaire d'Etat aux Transports dans le premier gouvernement Raffarin.
Né le 13 juillet 1952 à Tours (Indre-et-Loire), Dominique Bussereau, conseiller en entreprise, est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris. Leader des jeunes giscardiens de 1974-1977 après l'élection de Valéry Giscard d'Estaing à la présidence de la République, il devient en 1981 directeur adjoint du cabinet de VGE, à nouveau candidat à la présidentielle.
Marié et père de deux enfants, il fait ensuite un passage dans le monde de l'entreprise, à la SNCF (1982-1983) puis au groupe Ecole supérieure de commerce de Paris (1984-1986). Ancien député de Charente-Maritime (1986-1988 et 1993-2002) et ancien conseiller régional (UDF-PR) de Poitou-Charentes (1986, 1992-1993 et 2004), M. Bussereau a été maire de Saint-Georges-de-Didonne (Charente-Maritime) de 1989 à 2002, date à laquelle il est devenu premier adjoint après son entrée au gouvernement.
Au gouvernement, il a occupé successivement les fonctions de secrétaire d'Etat aux Transports (mai-juin 2002), aux Transports et à la Mer (juin 2002-mars 2004), au Budget et à la Réforme budgétaire (mars-novembre 2004), avant d'être nommé ministre de l'Agriculture. Il est conseiller général (UDF puis UMP) de la Charente-Maritime depuis 1985 et premier vice-président de la communauté d'agglomération du Pays Royannais. Depuis 2002, il est membre du comité exécutif de l'UMP, et depuis 2004 secrétaire général de Dialogue et Initiative, club cofondé par Jean-Pierre Raffarin.
350 vaches, 3 traites par jour et 12 salariés : une ferme laitière grand format où il fait bon vivre
Angus, Charolais, Blanc Bleu : quelle race préférer pour le croisement laitier ?
Un taureau limousin vendu 22 500 € aux enchères de Lanaud
Économie, travail, environnement : « S’installer en lait 100 % herbe, mon triplé gagnant »
Décapitalisation : profiter de l’hémorragie pour faire naître un élevage durable ?
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
L’huile de palme est à manier avec précaution
Les systèmes robot de traite redeviennent plus compétitifs que les salles de traite
Simon Huet : « Je gagne plus d'argent à être autonome qu'à être en bio »
Reprendre le contrôle sur les troupeaux à haut niveau cellulaire