|
 Comparer pour mieux se situer. (© Terre-net Média)
|
Chaque mois, nous vous proposerons, dans le tableau joint, le prix de base pour 1.000 litres, flexibilité déduite, et le prix du lait acheté (prix de base – flexibilité – retenues + primes).
L’ensemble des résultats sont classés par ordre croissant.
Pour novembre 2011, il ressort que le prix moyen de base, flexibilité déduite est de 311,93 euros les 1.000 litres.
Avec les primes et les retenues prises en compte, ce prix moyen est de 333,75 €/1.000 l.
- 297,70 €/1.000 l : c’est le prix le moins cher, payé par le site de Etrez Beaupont (01);
- 398,17 €/1.000 l : c’est le prix le plus cher, payé par Elle et Vire Agrial (50).
Parmi les 60 collecteurs répertoriés ce mois-ci dans notre fichier, dix collecteurs ont acheté le lait en novembre, plus-values et retenues comprises, moins de 317.82 €/1.000 l et dix autres plus de 351.51 €/1.000 l.
|
Pour télécharger le classement, cliquez sur :
Accédez aux archives, en cliquant sur :
|
Ces comparaisons résultent d'une simple analyse des données communiquées par les éleveurs volontaires pour réaliser ce nouveau panorama. Donc prudence sur les conclusions hâtives à en tirer.
Pour participer au référentiel, inscrivez-vous et renseignez le formulaire en lien.
Et à tout moment, pour suivre les cotations, tendances et analyses au quotidien, consultez l’Observatoire des marchés.
350 vaches, 3 traites par jour et 12 salariés : une ferme laitière grand format où il fait bon vivre
Angus, Charolais, Blanc Bleu : quelle race préférer pour le croisement laitier ?
Un taureau limousin vendu 22 500 € aux enchères de Lanaud
Économie, travail, environnement : « S’installer en lait 100 % herbe, mon triplé gagnant »
Décapitalisation : profiter de l’hémorragie pour faire naître un élevage durable ?
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
L’huile de palme est à manier avec précaution
Les systèmes robot de traite redeviennent plus compétitifs que les salles de traite
« Je vends mes broutards 20 à 25 centimes plus chers grâce aux marchés aux bestiaux »
Viande bovine : des prix au plus haut, mais qui pour élever les vaches demain ?