« Depuis le 9 avril, seuls deux cas ont été recensés en Haute-Savoie et dans le Bas-Rhin, dans des basses-cours à proximité de zones humides », indique le ministère. « Parallèlement, aucun cas dans la faune sauvage n'a été recensé depuis le 23 mars dernier, soit depuis plus d'un mois ».
En conséquence, « les mesures de restrictions, en particulier la claustration, sont ainsi levées, sauf dans les zones à risque particulier (ZRP), où les mesures de biosécurité renforcées, dont la claustration des oiseaux, restent en vigueur », indique le gouvernement. Ces communes ne seront plus soumises à restriction dès que le niveau de risque sera ramené au niveau "négligeable". Le niveau de risque était considéré comme élevé depuis le 17 novembre 2020.
Le ministère de l'agriculture dénombre à ce jour 491 foyers dans les élevages ou basse-cours comportant des volailles. La filière palmipèdes gras, surtout localisée dans le sud-ouest de la France, a été la plus touchée, mais les conséquences ont été également importantes sur les autres filières (volailles de chair, génétique, reproduction).
La filière foie gras estimait début mars avoir perdu 6,7 millions de canards pour la production, entre les abattages, la mortalité due au virus et les arrêts de production.
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