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Les articles du 16 novembre 2016

Les mélanges complexes sont plus difficiles à maîtriser. Le triticale et le pois fourrager sont incontournables. On peut y associer la vesce plus résistante au froid, mais aussi plus difficile à récolter.© SÉBASTIEN CHAMPION
Voilà un fourrage riche en protéines solubles, en cellulose et fibreux, qui fait donc ruminer les vaches et qui vous garantit un rendement de 10 t de MS/ha en une coupe, quelle que soit l'année.

LUZERNE, LE RETOUR

Riche en azote, moins dense en énergie, la luzerne est un bon complément du maïs. Elle répond à la demande de fibres et d'autonomie protéique.
Il faut choisir des marchés à forte affluence et disposer d'une large gamme de produits.
Il existe différents débouchés pour vendre ses produits. Il est conseillé de bien identifier les atouts et les contraintes de chacun avant de se positionner sur l'un d'eux.

RENTABILITÉ : DES ATELIERS PLUS OU MOINS AVANTAGEUX

À La Gorgue (Pas-de-Calais), huit producteurs ont ouvert ensemble un point de vente pour les produits de la ferme.© N.L.
Une étude réalisée avec onze producteurs montre que la rémunération du travail, la valorisation du lait et le niveau des charges sont très variables d'un atelier à l'autre.
© WATIER VISUEL
Aptes à produire des fourrages très tôt en sortie d'hiver ou en été, les espèces « intercalaires » sont expérimentées en Pays de la Loire.

MAIN-D'OEUVRE : DISPONIBILITÉ ET SAVOIR-FAIRE EXIGÉS

6 à 12 h de travail par 1 000 l sont nécessaires pour fabriquer une gamme peu diversifiée. Compter plus de 25 h pour une gamme très diversifiée.© CLAUDIUS THIRIET
La transformation de produits laitiers à la ferme est une activité très exigeante en temps de travail et demande beaucoup de savoir-faire de la part de l'éleveur dans les domaines de la production, de (...)
Les éleveurs qui abandonnent le couchage paillé au profit des logettes apprécient l'allègement de la charge de travail, surtout s'ils curaient une fois par mois.
Conserver le système paillé lorsque le troupeau s'agrandit devient problématique. La transformation du couchage et de la fumière couverte adjacente en logettes est la solution la plus cohérente..

DEUX RANGÉES DE LOGETTES POUR LE CONFORT DES ANIMAUX

Régine, Nicolas, et Emmanuel Legentil : « Nous apprécions que les vaches puissent manger toutes en même temps au cornadis. » © C. H.
En convertissant la fumière couverte et en installant deux rangées de logettes, le bâtiment du Gaec Legentil loge 35 vaches de plus qu'il y a dix ans pour un coût abordable.

TROIS RANGÉES DE LOGETTES POUR VALORISER L'EXISTANT

Pierre Gilles s'est installé avec ses parents en 2002 avec un quota de 459 000 l. En 2004, son frère Benoît l'a augmenté à 560 000 l. Depuis, des attributions départementales ont porté le quota laiterie à 680 000 l.© C.H.
Le Gaec de la Thorinière souhaitait atteindre une capacité de production de 110 vaches, tout en limitant au maximum l'agrandissement de la stabulation. Objectif atteint.
L'augmentation du quota de 182 000 l en 2008 a incité James et Loïc Louvet à accroître la capacité d'hébergement de leur stabulation, tout en ayant le souci de limiter le coût de l'investissement et de gagner en confort de travail.
Son évolution en trente ans avait donné une aire paillée aussi profonde que large. James et Loïc Louvet y ont apporté une solution originale : des logettes perpendiculaires aux cornadis.

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