Archives de Web-agri.fr

Consultez les articles archivés de Web-agri.fr

Retrouvez les articles par date

Choisissez l'année, le mois, puis le jour et découvrez les articles publiés à la date choisie.

Jours

1 2 3 4 5 7 8 9 10 11 14 15 16 17 18 19 21 22 23 24 25 26 28 29 30

Les articles du 16 novembre 2016

Le risque de sélectionner, par des traitements intramammaires, des germes résistants aux antibiotiques apparaît théorique. En revanche, il est clair pour des traitements par voie générale© CLAUDIUS THIRIET
Traiter de façon ciblée la bactérie dominante de l'élevage, a une meilleure efficacité qu'un traitement à large spectre. Encore faut-il être en mesure de l'identifier. Ce n'est pas toujours le cas.

UN PASSAGE OBLIGÉ : LIMITER LES FACTEURS DE RISQUE

Il n'y a pas une hygiène de traite passe-partout, mais des pratiques à adapter en fonction des espèces bactériennes ciblées.© CLAUDIUS THIRIET
Optimiser les traitements antibiotiques pour guérir l'infection et limiter le risque de résidus et d'antibiorésistance sont deux choses ! Diminuer la fréquence des mammites en est une autre.
Avec l'aide de leur vétérinaire, Sylvie et Frédéric Leblond ont rapidement mis le doigt sur les causes contribuant à diffuser les germes, des « Staphylococcus aureus » et des « Streptococcus uberis » (d'origine mammaire), comme le confirmeront des bactériologies.© JEAN-MICHEL VOCORET
Sur le terrain propice aux vaches à problèmes non réformées à temps, les cas de mammites cliniques ont explosé au Gaec de Monte en Roye. Ils sont aujourd'hui en train de se résoudre. Il a suffi de met (...)
L'utilisation du premier vaccin contre les mammites n'est à envisager que dans les élevages où il est avéré que les infections à staphylocoques et/ou à coliformes sont à l'origine de pertes économiques importantes.© CLAUDIUS THIRIET
Réduire le recours aux antibiotiques contre les mammites passe par des moyens alternatifs de traitement ou de prévention. La vaccination, sans être une panacée, peut y contribuer.

PRODUIRE À BAS PRIX GRÂCE À L'HERBE

Dans cet élevage de 1 360 vaches, la traite se fait dans un roto de 85 places. Les trayeurs sont logés sur place et perçoivent 17 500 €/an. Ils travaillent onze jours d'affilée avant de profiter de trois jours de repos.
La filière laitière repose sur l'objectif de valoriser l'herbe par le pâturage afin de réduire les coûts. Toute l'organisation de l'élevage en découle.
Les troupeaux laitiers au pâturage font partie du paysage néo-zélandais. On les retrouve même sur les cartes postales.
Les conditions naturelles extrêmement favorables ont fait du lait la première ressource économique de la Nouvelle-Zélande. Mais aujourd'hui, le tourisme monte en puissance.

LA TRANSFORMATION SOUS LA DOMINATION DE FONTERRA

Le site de Te Rapa, près d'Auckland, peut traiter jusqu'à 7 Ml de lait par jour et emploie 600 personnes. Il possède quatre tours de séchage dont la plus grosse produit 23 t de poudre/h. Au total, Te Rapa sort 300 000 t de produits laitiers par an (225 000 t de poudre et 70 000 t de crème). En moyenne, 900 à 1 000 t de poudre sont fabriquées chaque jour.
Si elle dispose d'une matière première peu coûteuse, l'industrie laitière doit gérer la saisonnalité de la production et les contraintes liées à son isolement géographique.

« COOPÉRATIVE DE WESTLAND, UNE DISSIDENTE »

La deuxième coopérative du pays, Westland Milk Products, est née du refus de ses adhérents de rejoindre Fonterra. Elle se développe régulièrement en tirant profit de sa petite taille.
La plaine du Canterbury dans l'île du Sud mise sur l'irrigation des prairies pour augmenter le chargement et développer encore la production laitière. Au risque de voir déraper les coûts de production et la pollution de l'eau.
La Nouvelle-Zélande reconnaît du bout des lèvres les problèmes environnementaux posés par l'élevage laitier, mais sans remettre en cause ses objectifs de croissance. Une certitude : les investissement (...)
La richesse protéique de l'ensilage d'herbe n'est pas sa seule qualité. Les éleveurs apprécient sa fibrosité. Son temps est de 100 min par kg de MS, contre 40 à 60 min pour le maïs-ensilage. En apporter au moins 20 à 30 % dans le régime fourrager sécurise les incidences métaboliques de la ration.© C.H.
Des analyses donnnent des résultats en matière sèche et valeurs alimentaires décevants. La qualité de l'ensilage d'herbe souffre d'un manque de technicité et de l'absence de recherche.

Tapez un ou plusieurs mots-clés...