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Les articles du 16 novembre 2016

GIROPHARE DES JEUNES AU COMPTE-GOUTTES

Le très complet Banania Il a hérité d'Orphelin son potentiel laitier. Avec 1 158 kg de lait, il appartient au top 15 en lait des taureaux normands diffusés. Il contribue également à maintenir l'aptitude bouchère de la race normande sur des squelettes développés.
Puit, Ouzous, Orphelin et Parapet, les fils de Girophare fournissent chacun un Jeune mâle. Primate est le grand absent de 2012.

ÉLIXIR DES PROFILS VARIÉS

Faltazi pour le lait et la viande - À l'image de son père Ucany mais un degré au-dessus, Faltazi augmente le potentiel laitier grâce au lait (968 kg) et au TP (1,2 g/kg). Les éleveurs normands verront aussi d'un bon oeil son index musculature à 0,9.
Avec ou sans lait, avec ou sans TP, avec ou sans aptitude bouchère, les fils d'Ucany et de Virbac offrent toutes les combinaisons.

PIE ROUGE : UNE GAMME ÉLARGIE GRÂCE À LA GÉNOMIQUE

Brocky - A 144 points d'Isu, il est le meilleur des taureaux confirmés indexés pour la première fois en juin. Son profil est complet, sans défaut.
Après une entrée discrète en 2011, les jeunes taureaux sans descendance s'affirment cette année. Leur diffusion sera encadrée par Créavia qui veut éviter une surutilisation.

BRUNE : L'OFFRE FRANÇAISE RENOUVELÉE

Balou idéal pour la morphologie - Les Balou sont normales dans leurs mensurations de corps. En revanche, les bassins sont remarquables (1,2), tant dans leurs dimensions (1,1 en longueur, 0,9/0,8 en largeur) qu'en inclinaison proche de l'optimum. Elles excellent aussi dans les membres (1,5) et les mamelles (2,1).
L'arrivée des génomiques dope l'offre de taureaux disponibles pour la nouvelle campagne d'IA.

SIMMENTAL : LES GENOMIQUES ENTRENT EN PISTE

Barnum : 170 en Isu mais aussi 126 en morphologie - Les filles de Barnum tutoient l'excellence. Grandes (116), profondes (105), dotées de bassins bien dimensionnés (106/106), elles jouissent aussi d'une musculature idéale (111). Pas de faille dans les mamelles (119) sans volume (120), avec un ligament (116) marqué, des trayons courts (80) et bien orientés à l'arrière (125). Les attaches avant (104) et arrière (106) sont dans la normale.
Année faste pour la race. Outre l'arrivée des premiers génomiques, elle voit un bouleversement du top racial avec, entre autres, un crack à 170 points d'Isu.

ABONDANCE : ARDECHOIS AU SOMMET

Casse-tête : trouver un support peu consanguin à Ardéchois - On attendait mieux en morphologie (110) d'un Nucléair. Pour autant, les filles d'Ardéchois offrent une conformation régulière sans défauts marqués. Elles se démarquent dans les bassins (113) et les trayons (111) plutôt courts (95) et fins (86). Seuls postes en dessous de la moyenne : la largeur de poitrine (94) et la hauteur d'attache arrière (86).
Des quatre nouveaux géniteurs, Ardéchois se distingue par un niveau Isu (151 points) que l'on avait fini par croire inaccessible en abondance.

L'expérience de vingt ans de traite robotisée

Les robots ont énormément gagné en fiabilité. Les constructeurs osent dire qu'ils peuvent les mettre entre toutes les mai© CHRISTIAN WATIER
Le robot de traite a fait la preuve de son efficacité. Mais cette technologie nécessite quelques adaptations. Celle qui impose à l'éleveur une nouvelle façon de travailler n'est pas la moindre.

TARINE : UN ZESTE D'ORIGINALITE PAR LA VOIE FEMELLE

Bayard - Premier fils d'Oublon remis en service, le n° 1 racial en potentiel laitier à 1 150 kg, Bayard déçoit un peu avec son 433 kg de lait et son TP à - 1,3. Comme les Oublon, les Bayard pèchent dans les dimensions (92/96/85) et l'inclinaison (70) du bassin indexé à 81. En revanche, elles sont dotées de bonnes mamelles (115), surtout sans volume (81) avec des trayons remarquables (121).
Sortie en demi-teinte après celle euphorique de l'an dernier. Sur les cinq nouveaux promus, trois se distinguent un peu par leur originalité génétique.
Grâce à une surveillance rigoureuse du troupeau, Bernard Yvinec cherche à éviter les ennuis sanitaires qui favorisent les chutes de production en fin de lactation.© P.L.C.
Avec un parcellaire favorable au pâturage, Bernard Yvinec cherche à optimiser la valorisation des concentrés pour préserver son efficacité économique. Mais la maîtrise devient délicate en fin de lacta (...)

VETGPS UN LOGICIEL POUR IDENTIFIER LES MALADIES

Bertrand De forge est satisfait d'avoir appris à mieux observer ses animaux. Il peut ainsi donner des informations plus précises quand il appelle son vétérinaire
Ce nouvel outil donne aux éleveurs les clés d'une bonne observation des animaux malades. Le VetGPS identifie la pathologie la plus probable et permet d'adapter la réaction au problème

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