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Les articles du 16 novembre 2016
Digne héritier de son père, Massey atteint des sommets en index fonctionnels. Il est bien seul dans cette fratrie.
Parmi ses fils, Toystory est le plus chanceux. Encino place un fils mais Buckeye échoue.
O-Man reste très présent dans les pedigrees des jeunes taureaux. Plus globalement, on voit arriver les produits de la recherche d'une meilleure fonctionnalité.
Quelques taureaux aux pedigrees plus originaux vont intéresser les amateurs de sang neuf.
On n'attendait pas un Oyama et un Papayou dans le top 10 Isu. Encore moins un MS à 136 d'Isu. Celui-là est incontournable pour la variabilité dans les troupeaux, et les schémas Umotest et Jura-Bétail.
La race normande a tourné définitivement la page de la sélection 100 % sur descendances. Quarante huit nouveaux taureaux sont entièrement à index génomiques sur les soixante-cinq en catalogue.
D'un niveau génétique très séduisant, les trois premiers Triomphe génomiques ne brillent pas par l'originalité de leur pedigree maternel.
Rubafix, Raisinnoir et Sortain, les petits-fils de Valabri, ont fait leurs preuves. Seul problème : leur pedigree manque d'originalité. Le millésime 2012 en souffre, à part le génomique Faster.
Comment gérer le succès de la lignée Diamètre ? Cette question se pose pour bon nombre d'accouplements. La sortie de douze fils d'Uvray bien classés ne fait pas avancer le débat.
Sans présenter des signes de consanguinité, les huit fils de Redondo comportent dans leur pedigree bon nombre de lignées normandes. À prendre en compte dans les accouplements.