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Les articles du 16 novembre 2016

COMMENT NE PLUS SUBIR LA REPRODUCTION DE SES VACHES

Les races normandes et montbéliardes sont encore adaptées à la stratégie d'un veau par vache et par an, la prim'holstein ne l'est plus, surtout en vêlages groupés.© CHRISTIAN WATIER
Les difficultés rencontrées ne sont pas une fatalité. Des leviers d'amélioration existent. À condition de bien définir au préalable ses objectifs de conduite du troupeau.
Carburant et main-d'oeuvre représentent 50 % du budget annuel d'une Cuma
Si la densité laitière de la tournée est déterminante sur le coût de distribution, il est en général inférieur ou égal à celui d'un équipement individuel mais avec le gain de temps en plus.
Pour 65 à 70 vaches, une auge double de 2 x 9 m (2 x 13 places) est nécessaire. Compter un investissement de 24 000 à 25 000 € chez Geoffroy ou Cow House (prix catalogue hors taxes). S'y ajoute le prix de l'indispensable désileuse cube.PHOTO : J.-M.V.
Deux sociétés se partagent le marché national des auges mobiles ou pousse-fourrages automatisés. Ces matériels se différencient sur quelques subtilités techniques.
Les éleveurs ont le choix d'investir dans un robot d'alimentation ou dans des bandes transporteuses. Plusieurs freins empêchent le développement de ces équipements en France.
Les éleveurs ont installé une planche sur l'auge : elle sert de passerelle pour accéder au sommet du tas qui culmine à plus de 3 m de hauteur.
Lors de la mise aux normes de l'exploitation, Jean-Luc et Xavier Hervé ont préféré couvrir le silo et l'aire d'exercice pour maintenir le libre-service. Ils y gagnent en temps de travail comme en inve (...)

SEPT POINTS POUR UN GRAND CHANTIER À PRIX MODÉRÉ

En allégeant la structure, on évite les grandes largeurs très coûteuses et souvent moins performantes en terme d'ambiance.© CHAMBRE D'AGRICULTURE DES PAYS DE LA LOIRE
Il est possible de gagner jusqu'à 30 % sur la facture d'un bâtiment en jouant sur la conception ou sur les matériaux. Une réflexion payante donc, qui ne remet pas en cause le fonctionnement.
De gauche à droite : Joël, Jeannick, Damien Gaignard, sa compagne Patricia et Dominique Guérault, le technicien bâtiment de la fromagerie Bel.PHOTOS PLC
EN CHOISISSANT DE LIMITER LA SURFACE, DE NE PAS TOUT COUVRIR ET DE TRAVAILLER EN AUTOCONSTRUCTION, LES ASSOCIÉS DU GAEC DE REBUSSON ONT RÉDUIT LEUR FACTURE D'UN TIERS.

« UN PARC STABILISÉ POUR LES GÉNISSES EN HIVER »

Bernard Airieau, l'un des trois associés du Gaec des Platanes.PHOTOS G.D.
POUR LOGER LEURS GÉNISSES, LES ASSOCIÉS DU GAEC DES PLATANES ONT INSTALLÉ UN PARC STABILISÉ D'HIVERNAGE, SANS TOIT. APRÈS DEUX HIVERS, ILS NE REGRETTENT PAS CE CHOIX.
Thierry Boisgontier, l'un des associés du Gaec des Martellières.PHOTOS N.L.
POUR LIMITER LES COÛTS, LES ASSOCIÉS DU GAEC DES MARTELLIÈRES ONT CONSTRUIT UNE STABULATION À LA CHARPENTE LÉGÈRE ET AU BARDAGE EN BOIS. ILS ONT AUSSI RÉALISÉ EUX-MÊMES LES BÉTONS.

COMMENT RÉDUIRE CES RUINEUSES PERTES DANS VOTRE SILO

La plupart des pertes au silo sont invisibles et pourtant colossales : 15-20 % du fourrage récolté. Car la règle du tassement et de la couverture hermétique n'est pas respectée.

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