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Les articles du 16 novembre 2016

Les écarts entre les six jeunes Valfin JB proposés par les deux unités de sélection sont minimes, vu l'intervalle de confiance des taureaux génomiques indexés sans fille.

Fils de Sillon/Natif/Genova, Feeling a bien d'autres atouts que sa seule originalité génétique.

En deux ans, la sélection génomique a enrichi rapidement la race normande des fils d'Upérise et Ulozon. Ils sont une alternative performante aux familles Diamètre, Valabri et Girophare.

Les éleveurs soucieux des caractères fonctionnels puiseront dans les fils de Visuel, Vomicol, Unnoël, Ucany et Ultimus. Avec plus ou moins de lait et TP, avec ou sans format, tout est possible.

Passé le peloton de tête des Upérise et Ulozon, les fils Vitriol, Voupigny et Arnica, défendent bien leur place au classement Isu comme au palmarès des pedigrees originaux.

Le petit-fils de Girophare, Alma, offre mamelle, TP et format. Ses fils conservent ses qualités et ils y ajoutent le potentiel laitier.

L'an passé, les fils de Redondo confirmés sur descendance occupaient les catalogues. Rafiot prend le relais par les voies maternelle et paternelle.

La fiabilité des index des jeunes taureaux génomiques, inférieure à celle des taureaux confirmés, appelle à diversifier l'origine des doses utilisées en élevage.

Malgré la montée en puissance des taureaux génomiques, les polygéniques conservent une place privilégiée dans les plans d'accouplement.

La simmental française continue de récolter les fruits de ses pères à taureaux cherchés en Allemagne et en Autriche. Elle y trouve aussi une jeune génétique au top et de la variabilité.