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Les articles du 16 novembre 2016

Actuellement en BTS comptabilité-gestion par alternance, Anne-Sophie Gauthier, de Ciel, en Saône-et-Loire, illustre tout à fait cette génération de jeunes éleveuses dynamiques et passionnées qui émerge.© RAPHAEL HELLE / REPORTAGE
Elles sont encore peu nombreuses mais ne sont plus des exceptions. Dans les exploitations comme sur les rings, les femmes sont très visibles.

UNE SORTIE EN DEMI-TEINTE

Beethoven, là où les mensurations font défaut. Les filles de Beethoven se démarquent dans leurs mensurations. La taille (109), la largeur de poitrine (101) et les profondeurs (117/113) ne pèchent pas. Les bassins (124) sont très bien dimensionnés. Les mamelles sont plus dans la normale (107), mais dotées d'excellents trayons (119). Dommage qu'il soit si peu variable avec son origine Oclin/Nathan, le neveu et l'oncle, par Écaille, arrière-grand-mère paternelle et maternelle de Beethoven.
Pas de crack en Isu mais un géniteur qui marque en morphologie et surtout un Naïf très original, Bunny, plus aisé à placer que le premier sorti en 2011.

UNE ANNÉE LAITIÈRE

Coupet, le même type que Peissons. Sur les filles de Coupet, on retrouve la puissance corporelle (112), les bassins (115) et la solidité des aplombs (114) de Peissons. On attendait mieux d'elles sur le bloc arrière. Surprise en revanche pour leur tempérament (110), bien plus facile que les Peissons.
Trois taureaux sur les cinq sortis entre 500 et 800 kg de lait. Le potentiel de production marque la nouvelle génération.
Complètement impliquée dans l'élevage, Claire reçoit aussi bien les acheteurs de génétique que le vétérinaire.©  ANNE BRÉHIER
Dans le monde de la sélection montbéliarde, traditionnellement considéré comme un milieu d'hommes, Claire Gadiolet a fait sa place.
« L'élevage a un côté répétitif, mais quand on travaille avec du vivant, chaque jour est différent », souligne Aline, ici avec la vétérinaire. Aller aux cultures me fait aussi du bien, ça me change des vaches ! » ©  A.B.
Associée dans le Gaec familial, Aline Cabaussel s'est installée en 2011 après avoir travaillé à l'extérieur. Elle partage sa passion de l'élevage et de l'agriculture avec les JA.

LE PROJET DOIT AVOIR QUINZE ANS D'AVANCE

La conception d'une toiture de type usine permet de réduire les coûts et d'améliorer la ventilation dans les constructions de grande largeur.PHOTOS : PASCALE LE CANN
Construire un bâtiment aujourd'hui implique de se projeter dans un monde sans quotas. Tous les repères bougent, mais la structure devra suivre et rester fonctionnelle.
De gauche à droite, Anne Blondel, responsable de la formation-encadrement des contrôleurs laitiers de l'Ain et Saône-et-Loire, Lorie Hayez et Anne-Cécile Vallot, conseillères élevage en Bresse et Dombes.
De plus en plus présentes dans les écoles d'agriculture, les jeunes femmes investissent le conseil en exploitation.
Les deux associés, Étienne Simon (à gauche), responsable du troupeau laitier, et Benoît Legros, en charge des cultures et de l'atelier porcin.
La conception de la stabulation du Gaec du Bas-Ralay laisse la porte ouverte à son prolongement dans la longueur ou à un déploiement latéral pour répondre à une évolution future de la production laiti (...)

« L'AIRE PAILLÉE VA ÊTRE CONVERTIE EN LOGETTES »

C'est dans le cadre de leur association que Christophe Dufour (à gauche) et Sébastien Lachère ont construit un bâtiment pour regrouper leur troupeau sur le même site.PHOTOS : JÉRÔME PEZON
Après avoir construit une aire paillée pour limiter les coûts, le Gaec va désormais passer en logettes pour accroître la capacité du bâtiment.
L'installation d'Eric Saulnier en Gaec avec ses parents a entraîné un doublement de la taille du troupeau et imposé la construction d'un bâtiment neuf. PHOTOS : P.L.C.
À 3 000 € la place, le bâtiment du Gaec du Feuillage vert devrait s'amortir sans trop de difficultés. Et surtout, il est capable d'évoluer pour répondre aux besoins futurs d'un jeune éleveur.

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