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Face à l’augmentation des coûts de production des élevages, la Coopération agricole alerte sur « la nécessité de préserver la santé économique des filières animales » et demande une répercussion des surcoûts tout au long de la chaîne de valeur, jusqu’au consommateur.
À son tour, la Coopération agricole alerte sur l’augmentation des coûts de production pour les éleveurs, induits par la hausse des prix des matières premières, et demande une hausse des prix en conséquence.
Pour « ne pas sacrifier le revenu des producteurs ni la pérennité des acteurs de l’agroalimentaire », son président Dominique Chargé a déclaré dans un communiqué : « Il est impératif que (cette hausse des coûts) soit prise en compte par l’ensemble de la chaîne de valeur jusqu’au consommateur, comme le prévoit l’esprit des États généraux de l’alimentation ».
« On note qu’entre juillet 2020 et juillet 2021, les cours du tourteau de soja, marché directeur de la protéine, ont progressé de 27 %, ceux du blé de 11 % et ceux du maïs de 50 % », illustre le communiqué.
Qui poursuit : « Si les coopératives de nutrition animale prennent leur part et jouent leur rôle auprès des éleveurs en amortissant les forts à-coups de variation des prix des matières premières agricoles (…), cet accompagnement a des limites et ne peut suffire à absorber l’inflation continue des matières premières ! ».
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