Communication conçue et proposée par DeLaval

Au Gaec de la Thébaudière (35), deux robots VMS 310 DeLaval ont changé la donne

Au Gaec de la Thébaudière (35), deux robots VMS 310 DeLaval ont changé la donne

Davantage de lait, moins de pénibilité et une reproduction sous contrôle : au GAEC de la Thébaudière (Le Loroux, Ille-et-Vilaine), l’entrée en service de deux robots de traite DeLaval VMS V310 a entraîné une petite révolution. De 30 kg, la production journalière atteint désormais près de 40 kg, avec des vaches au pâturage. « Le suivi repro du troupeau est hyper précis et nous avons beaucoup gagné en confort au quotidien », apprécient également Philippe et Alexis Guérin, père et fils.

La polyvalence serait-elle le nouvel enjeu de la traite robotisée ? DeLaval semble en faire la preuve. Conjuguant exploitation de la data et analyse du lait, le robot VMS V310 du constructeur suédois centralise indicateurs de production, suivi de la reproduction et outil d’aide à la décision au sein d’un même tableau de bord. Au GAEC de la Thébaudière (Le Loroux, Ille-et-Vilaine – 35), Philippe et Alexis Guérin en ont acquis deux exemplaires, une décision dont le duo père-fils se félicite encore.

Trois semaines pour habituer le troupeau

« Avant, nous étions en salle de traite 2×8, rappelle Philippe Guérin. C’est à l’installation d’Alexis, en 2023, que la décision d’installer deux VMS V310 a été prise. La mise en route s’est très bien déroulée : trois semaines ont suffi pour que vaches et génisses s’habituent au robot. » Reprise en 1992 par Philippe et son frère, aujourd’hui en retraite, l’exploitation produit aujourd'hui 870 000 litres de lait sur 130 ha.

Reproduction : un suivi « au cordeau »

Deux raisons principales ont poussé le duo père-fils à retenir le VMS V310 : l’accès pratique à la mamelle, facilitant les soins, et le module RePro. « Le suivi repro est hyper précis, détaille Alexis Guérin. L’analyse du lait donne les diagnostics de gestation, détecte les chaleurs 48 heures à l’avance et signale les kystes même à un stade précoce. »

Le jeune éleveur insémine désormais presque une vache sur deux à l’aveugle tant il fait confiance aux indicateurs. « Je ne fais plus du tout de contrôle de gestation au cornadis. Si j’ai un doute, je relance une analyse à tout moment, par exemple juste avant le tarissement », ajoute-t-il.

Un système d’analyses embarqué

Pour obtenir ces résultats, le module RePro du VMS V310 prélève un échantillon de lait pendant la traite et mesure la progestérone. Cette valeur, suivie dans le temps, est comparée à d’autres informations (production, passages au robot, activité....). Quand la courbe ressemble à une gestation, aux chaleurs (même silencieuses) ou à un trouble hormonal, le système génère une alerte et propose l’action adaptée (IA, re-contrôle, visite).

+ 10 kg de lait et du temps gagné

Côté lait, les chiffres parlent d’eux-mêmes : avant la robotisation, la production quotidienne avoisinait 30 kg de lait par vache et par jour, elle atteint désormais 38 à 40 kg, « et avec des vaches au pâturage », précisent les associés, pour qui l’objectif est à présent n’est plus d’augmenter le cheptel, mais d’aller chercher encore quelques kilos supplémentaires. « Nous avons aussi beaucoup gagné en confort au quotidien, concluent-ils. Chacun de nous a désormais un week-end libre tous les 15 jours. »

DeLaval
Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Web-agri n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.
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