Communication conçue et proposée par DeLaval

À Mernel (35), le robot DeLaval VMS V310 a redonné du temps à Ludovic Martin

À Mernel (35), le robot DeLaval VMS V310 a redonné du temps à Ludovic Martin
(©DeLaval)

Optimiser la main-d’œuvre, simplifier le quotidien et retrouver de la souplesse : telles étaient les priorités de Ludovic Martin, éleveur laitier à Mernel (35), au moment d’installer un DeLaval VMS V310. Deux ans après, le robot a tenu ses promesses. « Le gain de temps s’est surtout ressenti sur l’atelier élevage des génisses, plus que sur la traite », souligne notamment l’éleveur. Témoignage.

Éleveur laitier à Mernel (Ille-et-Vilaine), Ludovic Martin s’installe en 2000 à la suite de ses parents. L’éleveur gère aujourd’hui seul 130 ha et 160 animaux, dont 75 vaches laitières. « Ma mère, qui était restée un temps comme salariée, est partie à la retraite au moment de mon installation, explique l’éleveur. Je n’étais pas trop sûr de vouloir embaucher. Je souhaitais avant tout optimiser la main-d’œuvre et gagner du temps. Investir dans un robot s’est vite imposé. »

En 2021, le Breton entame les démarches pour automatiser la traite sur sa ferme et opte, un an plus tard, pour un robot DeLaval VMS V310, séduit par sa fiabilité : « Ce robot n’a pas le droit de tomber en panne ! Ou alors il faut que ce soit réglé vite. DeLaval est un fabricant que j’apprécie, avec un soutien technique fiable. En choisissant cette marque, je savais où je mettais les pieds. »

Moins de temps consacré aux génisses

Anticipant une hausse de production, Ludovic Martin redimensionne progressivement son troupeau, passant de 90 à 75 vaches. Conséquence : moins de vêlages, moins de génisses à élever et une organisation du travail qui s’assouplit très sensiblement. « Le gain de temps s’est surtout ressenti sur l’atelier génisses, davantage que sur la partie traite, » souligne-t-il. À la clé pour l’éleveur, moins de charge mentale et davantage de temps pour le suivi technique, l’administratif et la gestion de ses cultures.

Comme prévu, l’éleveur voit s’améliorer ses résultats, notamment grâce au module RePro intégré au VMS V310. L’analyse du lait à chaque traite mesure le taux de progestérone et détecte les chaleurs, les gestations et les troubles hormonaux.  « Le suivi est vraiment précis, explique Ludovic Martin. J’ai beaucoup réduit mon IVV et, derrière, j’ai gagné en lait. »

Le confort du pilotage connecté

Toutes les données sont regroupées dans un même tableau de bord : alertes, courbes et analyses aident l’éleveur à ajuster ses décisions au jour le jour. « Il y a un confort de travail qui se met en place avec le robot. Le matin, la première chose que je fais, c’est de regarder sur mon téléphone les retards et de faire passer les vaches concernées. Ensuite, je vais voir sur l’ordinateur les résultats de la veille et si le robot a détecté des problèmes. »

Moins de contraintes, meilleure visibilité sur le troupeau : l’éleveur a gagné en liberté et en sérénité. Ludovic Martin ne reviendrait pas en arrière. « Aujourd’hui, le but, c’est de faire perdurer ce système dont je suis satisfait, sans forcément chercher à mettre un deuxième robot. Je souhaite surtout maîtriser le temps de travail sur l'exploitation. »

DeLaval
Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Web-agri n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.
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