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Santé des veaux : colostrum, vaccination et monitoring, piliers de la prévention

Santé des veaux : colostrum, vaccination et monitoring, piliers de la prévention
(©MSD Santé Animale)

Dès leur premier mois de vie, les veaux sont particulièrement vulnérables aux diarrhées et aux infections respiratoires, principales causes de maladies des veaux avant 6 mois. Pourtant, des solutions existent pour renforcer leur immunité dès les premières heures. MSD Santé Animale a ainsi mis au point une approche globale, unique, de prévention du veau, dès la naissance : apport optimal de colostrum, solutions vaccinales, suivi sanitaire intelligent et monitoring. Grâce à une combinaison de prévention et de détection précoce, les éleveurs ont les cartes en main pour assurer à leurs jeunes animaux un départ solide et une carrière productive.

Les diarrhées et les infections respiratoires sont les principales causes de maladie des veaux dès leur premier mois. « En apportant du colostrum, en qualité et en quantité suffisante, et du lait de transition, pendant les 5 premiers jours, le veau reçoit des défenses qui l’aideront à faire face aux risques pour sa santé, jusqu’à ce que sa propre immunité soit développée », explique le Dr Vétéa Plichard, vétérinaire responsable technique ruminants chez MSD Santé Animale. L’idéal est que le veau puisse ingérer 4 litres de colostrum dans ses douze premières heures. « Au cas où le colostrum maternel ne serait pas suffisamment riche en anticorps, il faut avoir des glaçons ou des petites poches de colostrum de bonne qualité au congélateur, conseille le vétérinaire. Ces poches de 50 cl seront faciles à décongeler au bain-marie, en veillant à pas les chauffer à plus de 50°C pour ne pas dénaturer les protéines. » Il existe, par ailleurs, des solutions vaccinales contre les cinq agents principaux des diarrhées néonatale, dont la cryptosporidiose. 

Vaccination des vaches gestantes

En vaccinant les vaches gestantes contre les maladies digestives, les veaux seront d’autant mieux protégés via le colostrum grâce à un transfert d’immunité. La vaccination et une bonne préparation vêlage, qui favorise un colostrum de qualité, sont les garantes de la transmission d’immunité au veau. Surtout qu’en plus des immunoglobulines, le colostrum apporte des vitamines et des oligo-éléments, qui contribuent à la pleine efficacité de la vaccination, notamment celle qui protège des maladies respiratoires. Des vaccins intranasaux existent contre les trois principaux virus (BRSV, para-influenza, coronavirus). « Ces vaccins protègent les voies respiratoires, portes d’entrée des virus, détaille le Dr Thibault Jozan, vétérinaire responsable technique ruminants chez MSD Santé Animale. Leur administration est possible dès la naissance. Il faut agir au plus tôt pour bien programmer l’immunité. »MSD Santé Animale a remporté un Innov'Space 2 étoiles, au Space 2025, pour le premier vaccin intranasal contre le coronavirus respiratoire bovin (BCoV), une pathologie jusque-là orpheline. Ce vaccin vivant atténué monovalent est administrable dès la naissance.

Monitorer la santé des veaux

En complément de ces outils de prévention, la surveillance des veaux permet d’intervenir vite en cas de maladie. Des solutions de monitoring se développent. « Le monitoring est bien utilisé pour la surveillance des vaches. Pour faciliter le travail des éleveurs, nous avons développé une solution pour le suivi des veaux durant leur première année, dévoile Raphaëlle Deffrenne, responsable monitoring chez MSD Santé Animale. Les boucles SenseHub Dairy Youngstock renseignent sur leur activité, les buvées, la rumination. Elles peuvent être posées dès la naissance puis elles suivront la génisse pendant toute sa carrière, pour plus tard, assurer la détection des chaleurs. » Les données sont analysées pour détecter les veaux à surveiller en priorité. « L’appli envoie une alerte à l’éleveur si les paramètres ne sont plus dans la norme et peuvent faire penser que le veau est malade, explique Raphaëlle Deffrenne. L’éleveur peut intervenir rapidement, avant même les premiers signes cliniques. Plus une maladie est prise tôt, moins elle aura d’impact. » Une maladie respiratoire prise en charge tardivement peut causer des dommages pulmonaires irréversibles. « Une génisse non sevrée avec des lésions pulmonaires de 3 cm produira 500 kg de lait en moins sur sa première lactation et connaîtra deux fois plus de risques de devoir être réformée précocement », prévient le Dr Thibault Jozan.

Plus une maladie est prise tôt, moins elle aura d’impact. » Une maladie respiratoire prise en charge tardivement peut causer des dommages pulmonaires irréversibles. « Une génisse non sevrée avec des lésions pulmonaires de 3 cm produira 500 kg de lait en moins sur sa première lactation et connaîtra deux fois plus de risques de devoir être réformée précocement », prévient le Dr Thibault Jozan.

Outils de prévention et interventions précoces sont les clés pour une relève en bonne santé.

MSD
Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Web-agri n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.
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