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Sommet de l’élevage : Etienne se penche sur la vaccination des bovins

Sommet de l’élevage : Etienne se penche sur la vaccination des bovins
(©Christophe Lopacki)

Pour Etienne Fourmont, chaque passage au Sommet de l’élevage est l’occasion de se renseigner sur les sujets qui l’intéressent. Dans cette nouvelle vidéo, l’agri-youtubeurre se rend sur le stand “santé animale” du laboratoire Boehringer Ingelheim pour discuter vaccination avec Arnaud Bolon, vétérinaire et responsable technique vaccins pour le groupe pharmaceutique.



Comme chaque année ou presque, Etienne Fourmont est de passage au Sommet de l’élevage. Une bonne occasion pour l’éleveur laitier sarthois, en pleine augmentation de la taille de son troupeau, d’obtenir les réponses aux questions qu’il se pose sur l’intérêt de la vaccination. Pour en savoir plus, le voilà en route vers le stand “santé animale” du laboratoire Boehringer Ingelheim où l’attend Arnaud Bolon, vétérinaire spécialiste des vaccins destinés aux ruminants.

“Tout changement implique du stress et des effets négatifs sur l’immunité”

Sur place, Etienne lui explique être en train de doubler son cheptel et d’agrandir ses bâtiments. Arnaud Bolon lui conseille effectivement d’aborder le sujet de la vaccination avec son vétérinaire : “Tout changement implique du stress et des effets négatifs sur l’immunité des animaux. C’est effectivement un bon moment pour vacciner car c’est une période à risque. Agir en prévention, notamment contre les diarrhées néo-natales et les maladies respiratoires serait à mon avis un bon investissement”, argumente Arnaud Bolon.

Prévention, réduction, immunisation : trois niveaux d’efficacité

Mais tous les vaccins sont-ils aussi efficaces les uns que les autres ? “Il existe trois niveaux d’efficacité, détaille l’expert du laboratoire Boehringer Ingelheim. L’indication prévention, c’est 100% d’efficacité démontrée. C’est le cas par exemple pour les vaccins contre la BVD, la FCO et un vaccin contre les diarrhées néonatales ; Le deuxième niveau, c’est une action de “réduction”, par exemple pour les maladies respiratoires : on ne sait pas empêcher la maladie, mais on réduit l’excrétion de virus et les symptômes. Le troisième niveau,  c’est l’immunisation active.”

Pour économiser sur les coûts différés, mieux vaut prévenir que guérir !

Quant aux enjeux économiques de la vaccination, notre éleveur les a bien compris. Si agir en prévention plutôt qu’en curatif ne permet pas toujours de réduire la facture de médicaments, la différence se joue en réalité à l’échelle des coûts différés. Ainsi, une génisse laitière touchée par un problème respiratoire avant son premier vêlage perd en moyenne 20 jours de lactation dans sa carrière. “C’est autant de manque à gagner, pointe Arnaud Bolon. “Sans compter le gain de temps et de sérénité côté éleveur”, complète Etienne.

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