Alors que la crise de l'élevage se poursuit en ce début d'année 2016, la FNPL souligne, dans un communiqué de presse, que si la conjoncture laitière reste « dégradée au niveau international, elle s’est stabilisée depuis quelques semaines. Le marché intérieur laitier français, lui, se maintient. Il n’y a donc aucune raison économique pour que le prix du lait à la production soit plus bas, au premier trimestre 2016, au regard de la tendance des derniers mois. »
L'association spécialisée de la FNSEA « en appelle donc à la responsabilité des entreprises dans leur détermination du prix du lait du premier trimestre. »
Elle rappelle aussi que « si la production laitière a explosé notamment du côté des pays du nord de l’Europe. La France, elle, est la bonne élève de l’Europe. Les contrats laitiers tels que la loi française les prévoit intègrent des clauses volumes. Une forme de régulation privée des volumes s’est recrée en France. »
La FNPL redit également son attachement à l'adéquation entre l'offre et la demande, qui doit selon elle, se concrétiser par une meilleure valorisation du prix du lait payé aux producteurs français.
Enfin, elle rappelle sa réflexion sur une « charte de valeurs » avec les transformateurs et les distributeurs, dont l'objectif est d'obtenir sur le long terme un prix du lait qui couvre au moins les coûts de production.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelle évolution du prix des terres en Bretagne en 2024 ?
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026