Cha le félicite aussi. « Que tout le monde fasse bloc face à de telles âneries ! », encourage-t-il. « Encore des salariés de coopératives laitières payés à rien faire... »
Faire bloc face à de telles âneries !
Mêmes félicitations sur la page Facebook de Web-agri de Vincent Masson : « Bravo Sébastien, tu as très bien parlé ! »
« Pendant ce temps là, les cadres dirigeants au niveau national gagnent 50 000 € par mois », appuie Francis, réagissant à l'article sur le site web.
Popeye76 réclame « la même transparence de la part des millionnaires de Sodiaal en termes de rémunération que celle qu'elle exige de ses adhérents pour le pâturage ». « Quand vous verrez leur train de vie, vous démissionnerez de cette pseudo coop car le lait rapporte gros mais pas aux éleveurs !! Quant à Lactalis, même combat ! »
D'où vient le lait transformé ?
« Oui, on a quasiment le même truc avec Lactalis, qui ne souhaite pas qu'on sache d'où vient le lait transformé dans ses usines... », confirme Jouault David sur Facebook.
« Encore des contraintes sans retour financier... »
Christophe Laurent estime, qu'en plus, les éleveurs « remplissent déjà assez de paperasse comme ça ». « On impose des contraintes supplémentaires aux producteurs laitiers, sans aucun retour financier évidemment ! »
Déjà assez de paperasse comme ça !
Jean-philippe Causse est du même avis : industriels et distributeurs « nous imposent toujours plus de règles et nous paient à la fronde en gagnant des fortunes sur notre dos ».
« Après s'ils paient le lait plus cher... », nuance Dd dans les commentaires de l'article. « Ils promettent combien d'euros pour faire ça ? », demande-t-il.
Sans doute « encore une prime "cacahuète" de 2 € pour nous "motiver"..., répond Gilles Goument sur Facebook.
« Manque plus d'un portail d'identification à l'entrée des pâtures !! »
Sylvain Quellier juge, au contraire, la démarche de Sodiaal légitime : « Quand on fait pâturer ses vaches, c'est naturel d'enregistrer son calendrier de pâturage. Surtout pour les élevages qui vendent du "lait de pâturage" et pour qui mettre les animaux dans les prairies n'est pas dans leur ADN. »
Anthony Laurent rétorque, à l'attention de Sylvain Quellier : « Quant on fait pâturer, c'est naturel d'enregistrer son calendrier de pâturage ? Vous êtes sérieux là ?! »
Réponse de Sylvain Quellier : « Non je suis pas sérieux, ce sont mes vaches qui gèrent elles-mêmes le pâturage... »
Ce sont mes vaches qui gèrent le pâturage...
Denis Bullipour conclure : « Avec des prairies à côté de l'étable, ça me semble logique pour les vaches pâturent et suffisant pour les contrôles de la laiterie. Il ne manquerait plus que les PCAE financent un portail d'identification à l'entrée de la pâture en guise de pointeuse. Allez, on arrête la casse, c'est déjà allé trop loin ! »
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