Pour ajouter l’article à vos favoris identifiez-vous.
Quatre fermes expérimentales ont testé les clôtures virtuelles. Si le système demande un temps d'adaptation de la part des animaux, il s'avère très pratique pour le découpage des parcelles et fonctionne plutôt bien.
Voilà plusieurs années que les Digifermes testent les clôtures virtuelles pour le pâturage des troupeaux (les fermes de Saint-Hilaire-en-Woëvre (55), de Derval (44) et des Établières (85) l'ont testé en bovins lait et viande). À la sortie de ces technologies, quelques craintes avaient été soulevées, notamment sur le comportement des animaux. Pourtant, les résultats d'essais le prouvent :
- Il n'y a aucun impact significatif sur l'activité et le comportement des animaux,
- Pas de modification des croissances en bovin viande,
- La valorisation de l'herbe est identique à un lot conduit avec des clôtures physiques.
« Les animaux s'y adaptent vite (les alarmes sonores et les chocs électriques diminuent très vite), affirment les techniciens. C'est une technique très pratique pour le découpage parcellaire. Il faut par contre faire attention aux points d'abreuvement (car eux ne sont pas virtuels) : il faut en avoir un sur chaque paddock ou un point centralisé auquel les animaux ont bien accès. » Seul bémol soulevé : le réseau, avec quelques pertes de signal parfois... Un point qui devrait être amélioré dans le temps par les fabricants.
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
Angus, Charolais, Blanc Bleu : quelle race préférer pour le croisement laitier ?
« Nos vaches produisent en moyenne 16 200 kg de lait »
Économie, travail, environnement : « S’installer en lait 100 % herbe, mon triplé gagnant »
Décapitalisation : profiter de l’hémorragie pour faire naître un élevage durable ?
« Je ne m’attendais pas à ce que mes vaches puissent faire du vêlage 2 ans »
Les systèmes robot de traite redeviennent plus compétitifs que les salles de traite
L’huile de palme est à manier avec précaution
Reprendre le contrôle sur les troupeaux à haut niveau cellulaire
Simon Huet : « Je gagne plus d'argent à être autonome qu'à être en bio »
Les premières baisses de prix du lait en Europe inquiètent