Avec une capacité qui grimpe jusqu’à 28 ou 32 m² et un système de coupe et de chargement qui grimpe jusqu’à 8 mètres de hauteur, la mélangeuse automotrice de Trioliet Triotrac, qui existait de 14 à 24 m², passe en mode intensif. Le nom de ces modèles maousses : la gamme X.
Pour préserver la qualité du fourrage ensilé et éviter qu’il ne chauffe ou que la pluie ne s’infiltre dans le silo, le système de coupe laisse une surface parfaitement verticale sur l’ensilage. « Les balles rondes ou carrées, le foin ou la paille, tout peut être chargé rapidement et avec précision », souligne le constructeur hollandais.
Un tapis de distribution d’un mètre de large
Le système de mélange a fait ses preuves chez Trioliet, avec une double vis verticale (entraînement par boîtiers planétaires lourds) pour créer un double flux et optimiser le mélange. La trappe de distribution est entièrement réglable, avec un tapis de distribution extra large d’un mètre. La cuve, en acier de 6 mm, bénéficie du revêtement Trionox d’une épaisseur de 4 mm. Un système de pesage peut être fourni avec un logiciel d’alimentation pour lister et quantifier le fourrage distribué.
Pour compléter les caractéristiques : cabine à réglage vertical hydraulique pour garantir la meilleure vue possible, moteur diesel 6 cylindres FPT d’une puissance de 270 chevaux, essieu avec 6 pneus 445/65 R22.5, transmission intégrale et directionnelle de série.
« La mélangeuse Triotrac de la gamme X est particulièrement adaptée aux grandes exploitations bovines ayant besoin d’une distribution de fourrage extrêmement précise et efficace », conclut le constructeur.
Il intègre 5 % de pommes de terre dans son silo de maïs ensilage
Fermeture de l’export de bovins : « les acheteurs vont en profiter pour faire baisser les prix »
Tendances saisonnières : l’hiver 2025-2026 sera-t-il pluvieux ou sec ?
Récolte 2025 : « une situation particulièrement alarmante » pour les producteurs de maïs grain
Y a-t-il vraiment un plafond de verre pour le prix de la viande bovine ?
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine
Logettes ou aire paillée ? Comment sont logées les vaches laitières françaises
Après la Prim’Holstein, la Génétique Haute Performance débarque en Normande
Avec 1 % de marge nette, l’industrie laitière française « fragilisée »
À Versailles, les agriculteurs de la FNSEA/JA veulent interpeler Emmanuel Macron