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Traire et nourrir les bêtes dans un élevage laitier, sont les deux activités qui nécessitent le temps d’astreinte le plus important. Quand certains choisissent d’automatiser ces tâches, d’autres s’unissent et délèguent la distribution de l’alimentation. L’initiative n’est pas nouvelle mais dans une période où la recherche constante de réduction des coûts et de diminution du temps de travail est prédominante, elle mérite d’être mise sous le feu des projecteurs.
Voilà maintenant 16 ans que Denis Malinge et six autres éleveurs de son voisinage n’ont pas touché à un godet désileur ni à un bol mélangeur pour distribuer les rations à leur cheptel. Ils n’ont pas investi dans un système automatisé mais dans leur Cuma. Témoignages et explications.
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