Selon les agriculteurs, une désileuse automotrice en Cuma a d’autres avantages : une ration complète de qualité (quantités précises, distribution à heure fixe), une gestion facilitée des stocks et une meilleure conservation du silo. Plus il y a de litres de lait au kilomètre, plus c’est intéressant. Pour être rentable, il faut 100.000 l/km. En dessous, cela devient difficile de réduire les coûts. » La densité laitière de la zone est donc le seul point limitant pour créer une telle organisation.
« En moyenne, les groupes "automotrice ou désileuse" des Cuma comptent une dizaine de fermes. Mais il n’y a pas de règles : cela peut aller de quatre à 16 exploitations. Les tournées aussi peuvent varier, en fonction des secteurs géographiques, de quatre à plus de 50 km. Au sein des 110 groupes de l’ouest de la France, 90 % ont un salarié. Dans d’autres endroits, ce sont les adhérents eux-mêmes qui effectuent la distribution de l'alimentation. »
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