Pour ajouter l’article à vos favoris identifiez-vous.
Gaëlle était coiffeuse. Jusqu'au jour où elle a eu un double coup de foudre : pour Fabien, jeune agriculteur, et pour le métier d'éleveuse de vaches laitières. Tout va très vite : trois mois après, elle habite à la ferme, et au bout de neuf, elle devient salariée. Il faut dire qu'elle s'est faite rapidement à sa nouvelle vie. Plus d'infos dans son témoignage, septième de la série présentant, en quelques lignes, les spécificités des parcours et projets des jeunes agriculteurs qui ont inspiré le livre de Christophe Dequidt, consultant, et de son épouse Sylvie : "Le tour de France des jeunes talents de l'agriculture".
Rien ne laissait prévoir que Gaëlle, coiffeuse en Charente-Maritime, deviendrait éleveuse de vaches laitières. Même si elle aime les animaux et les défis. Sa rencontre avec Fabien, jeune agriculteur, va doublement bouleverser sa vie, et plutôt rapidement. En à peine trois, elle s'installe avec lui et en neuf, elle quitte son emploi pour être salariée sur la ferme. Elle s'y intègre aussi vite. « Je ne suis pas de nature inquiète » et « je me sentais bien épaulée », confie-t-elle.
L'une de ses préoccupations cependant est de s'« intégrer au mieux au voisinage ». Alors, pour limiter les odeurs, notamment au moment de l'épandage, elle et Fabien décident d'installer un méthaniseur. Mais ce type de projet est également souvent mal perçu par la population. C'est pourquoi le couple ne l'alimentera qu'avec du lisier, des coupes d'intercultures et des déchets de céréales. Pour autant, les producteurs ont bien conscience que leur démarche ne sera réellement acceptée que s'ils parviennent à en « prouver les bienfaits ». Une amie de Gaëlle, Magalie, qui veut se lancer dans le maraîchage, va les y aider...
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelle évolution du prix des terres en Bretagne en 2024 ?
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026