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Jean-Baptiste a toujours été très attaché à la Franche-Comté, à l'élevage familial de vaches montbéliardes, race emblématique de la région, et au comté produit à partir de leur lait. Son installation, en Gaec avec son père et son frère, était prévue de longue date, comme la répartition des rôles de chacun. Lui s'occupera notamment de la valorisation de la production et de la filière. Ce portrait est le quatrième de la série "Les jeunes talents de l'agriculture" présentant, en quelques lignes, les spécificités des projets des jeunes agriculteurs qui ont inspiré le livre de Christophe et Sylvie Dequidt.
Qui voudrait quitter la Franche-Comté, avec ses collines dominées par les montagnes du Jura, ses maisons aux hautes façades recouvertes de planches de bois et ses prairies où pâturent des vaches montbéliardes, également typiques de cette région comme le comté fabriqué avec leur lait ? Pas Jean-Baptiste en tout cas. Il veut rester ici, dans la ferme familiale. Son installation, en Gaec avec son père et son frère, était programmée depuis longtemps et leurs rôles respectifs bien définis.
Jean-Baptiste se chargera, en particulier, de la valorisation de la production et veillera au bon fonctionnement de la filière. La suite logique : il s'implique dans la fruitière qui transforme le lait de l'exploitation en comté. « Il faut savoir maîtriser la filière, ne pas penser qu'aux volumes, insiste-t-il. La passion est importante mais ne doit pas prendre le pas sur les aspects économiques. » Si la coopérative est « performante », il faut aussi veiller à « préserver le côté artisanal, gage d'authenticité »...
est « performante », il faut aussi veiller à « préserver le côté artisanal, gage d'authenticité »...
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