L’organisation des producteurs de lait réagit face à la crise que traverse la filière. « Nous ne pouvons que nous satisfaire que les entreprises de transformation et de commercialisation soient performantes et dynamiques. Ce développement doit cependant cesser de se faire au détriment des producteurs de lait ». Le syndicat rappelle que les éleveurs « ne sont pas des variables d’ajustement des fluctuations des marchés ou des erreurs de stratégies d’entreprises ». L’Opl revendique « une répartition des marges corrélée aux coûts de production de chacun des acteurs de la filière laitière ».
Les producteurs de lait craignent que « l’année 2015 soit bien pire que 2009 : année de la grève du lait ». L’Opl et l’European Milk Board proposent un programme de responsabilisation des marchés (Prm) afin d’éviter de prendre des mesures dans l’urgence. Ce programme a pour but de limiter la volatilité des prix du lait ainsi que d'atténuer les grandes amplitudes de prix induites par le marché de l’exportation. Il permettrait de répondre aux demandes des marchés, et d’anticiper et ajuster la production en conséquence.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelle évolution du prix des terres en Bretagne en 2024 ?
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026