« Il faut être clair : plus nous collectons, plus nous perdons de l’argent. Si nous étions des financiers, nous devrions réduire de un milliard de litres notre collecte laitière française. Aujourd’hui, ces excédents sont orientés vers des activités non rémunératrices. Par rapport à nos concurrents, nous sommes dans une situation moins favorable. D’où le choix d’un développement mondial. »
La phrase
Article réservé aux abonnés.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?