Le 1er janvier, Serge Durand cède officiellement son exploitation à Bruno Veckeman. À 44 ans, ce dernier a choisi de s’installer à Ban-sur-Meurthe, dans le parc naturel des Ballons des Vosges. Il possède une structure bio de 30 ha, avec une étable entravée, 16 montbéliardes et une référence de 65 000 litres livrés à l’usine Lactalis de Corcieux (Vosges).
Problème : l’industriel a fait part de son intention de cesser la collecte au 31 décembre en raison d’un volume inférieur au seuil de 200 litres tous les deux jours. Une solution pourrait voir le jour grâce à Biolait qui étudie la possibilité de créer un circuit de collecte. Dans l’urgence, Bruno a le soutien de la Confédération paysanne qui entend solliciter tous les acteurs de la filière pour trouver une solution, car d’autres éleveurs seraient concernés.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Biométhane ou électrique, les alternatives au GNR à l’épreuve du terrain
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026