Ajuster au plus près les besoins en PDIA

Le principe de rationnement Sanders, particulièrement adapté aux VLHP et aux vaches en début de lactation, est d'apporter le juste complément en PDIA en fonction du niveau de production laitière, pour éviter les gaspillages. © SÉBASTIEN CHAMPION
Le principe de rationnement Sanders, particulièrement adapté aux VLHP et aux vaches en début de lactation, est d'apporter le juste complément en PDIA en fonction du niveau de production laitière, pour éviter les gaspillages. © SÉBASTIEN CHAMPION (©)

Pour valoriser le potentiel des laitières, Sanders a perfectionné son dispositif de rationnement en ajustant au plus près les besoins en protéines digestibles dans le rumen et dans l'intestin.

LE SYSTÈME DE RATIONNEMENT SANDERS A ÉTÉ MIS À JOUR afin d'affiner les besoins en MAT (matière azotée totale), en MPR (matière protéique dégradée dans le rumen) et en MPI (matière protéique valorisée dans l'intestin = PDIA). Le principe est de combler, dans un premier temps, les besoins en MPR des animaux puis, dans un second temps, d'apporter le juste complément en MPI en fonction du niveau de production laitière pour éviter le gaspillage. La grille de calcul de la ration Ideal System est ainsi plus précise, notamment pour les vaches hautes productrices, mais également pour les débuts de lactation.

En début de lactation et à la mise à l'herbe

Sandi Vertige découle directement de la nouvelle version Ideal System. Il s'agit d'un aliment riche en PDIA (220 g/kg de MS, pour 0,90 UFL), distribué entre 1 et 3 kg/VL/j, selon les objectifs de production en complément d'une ration de base dont les besoins en MPR sont déjà couverts. « Sandi Vertige contient 40 à 45 % de PDIA là où un aliment classique sans urée en contient 30 à 35 %. Cet aliment est particulièrement adapté en début de lactation, à l'occasion de la mise à l'herbe et pour les VLHP car les besoins en MPI augmentent plus rapidement avec le niveau de production laitière, souligne Jean-Baptiste Soula, chargé de développement du groupe. À titre d'exemple, une vache produisant 25 l/j a besoin de 96 g de MPR/kg de MS et de 44 g de MPI, tandis qu'une vache à 35 l/j requiert un apport de 100 g de MPR et 55 g de MPI pour exprimer son potentiel. » Pour renforcer son action, cet aliment contient également une association d'huiles essentielles et d'extraits végétaux sélectionnés pour limiter la dégradation ruminale des protéines.

Aperçu des marchés
Vaches, charolaises, U= France 7,1 €/kg net +0,05
Vaches, charolaises, R= France 6,94 €/kg net +0,02
Maïs Rendu Bordeaux Bordeaux 190 €/t =
Colza rendu Rouen Rouen 465 €/t +3

Météo
journée technique sur la tuberculose bovine

La tuberculose bovine fait frémir les éleveurs bas-normands

Maladies
Thomas Pitrel dans sa prairie de ray-grass

« La prairie multi-espèce a étouffé le ray-grass sauvage »

Herbe

Tapez un ou plusieurs mots-clés...