« Nous confirmons que nous avons arrêté de transformer le lait issu de la ferme dite des 1 000 vaches. Nous continuons de le collecter, mais nous le dirigeons vers la Belgique (NDLR : le lait serait vendu à Limelco qui fabrique, sous sa marque ou sous MDD, des produits frais). C'est d'ailleurs tout à fait cohérent d'un point de vue logistique. Notre décision est un choix d'entreprise face à un sujet qui nous a totalement dépassés et dont nous avons hérité à la suite de la reprise des activités de Senoble au sein de Senagral. Ce n'est pas le reflet d'un parti pris, ni de pressions de la distribution. Nous n'avons simplement pas voulu nous retrouver piégés dans un débat de société qui a aussi gagné le terrain syndical. Je suis pour la diversité des systèmes de production. Sans parler de troupeaux de 1 000 vaches, l'évolution de la taille des exploitations est l'un des grands défis à relever pour Agrial. La Normandie est un territoire qui a un fort potentiel de développement laitier. Il faudra en gérer la croissance. »
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