« Nous confirmons que nous avons arrêté de transformer le lait issu de la ferme dite des 1 000 vaches. Nous continuons de le collecter, mais nous le dirigeons vers la Belgique (NDLR : le lait serait vendu à Limelco qui fabrique, sous sa marque ou sous MDD, des produits frais). C'est d'ailleurs tout à fait cohérent d'un point de vue logistique. Notre décision est un choix d'entreprise face à un sujet qui nous a totalement dépassés et dont nous avons hérité à la suite de la reprise des activités de Senoble au sein de Senagral. Ce n'est pas le reflet d'un parti pris, ni de pressions de la distribution. Nous n'avons simplement pas voulu nous retrouver piégés dans un débat de société qui a aussi gagné le terrain syndical. Je suis pour la diversité des systèmes de production. Sans parler de troupeaux de 1 000 vaches, l'évolution de la taille des exploitations est l'un des grands défis à relever pour Agrial. La Normandie est un territoire qui a un fort potentiel de développement laitier. Il faudra en gérer la croissance. »
Une concession perd la carte Fendt, une armada de tracteurs part aux enchères
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
Des tracteurs canadiens à la conquête de la France et de l’Europe
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?
« Mieux vaut bien négocier la future Pac que craindre l’accord avec le Mercosur »
Gestion des IVV : « 2 veaux en plus par an, c’est 3 400 € de gagnés »