« Il ne s'agit pas de baisser significativement nos volumes, mais d'ajuster au plus près les besoins de nos usines. Notre proposition se veut à la fois globale et durable. Globale, car nous proposons parallèlement une nouvelle formule de prix prenant en compte de manière progressive les coûts de production des éleveurs. Durable, parce que cette solution vise à réduire l'impact de la volatilité du prix du lait, avec une approche qui prend en compte la réalité d'un marché de l'ultrafrais baissier en volume depuis quatre ans. Cette nouvelle formule sécurisera dans la durée notre approvisionnement et les débouchés des producteurs. Dans les régions avec lesquelles nous sommes convenus d'un accord, cette proposition s'applique déjà sur le principe d'une formule transitoire, pour nous laisser le temps de définir ensemble une formule plus pérenne. Par ailleurs, concernant la possibilité pour les producteurs de livrer une partie de leur lait à d'autres laiteries, aujourd'hui, notre contrat ne prévoit pas de clause d'exclusivité. »
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