« Ne laissez pas l’opportunité à l’industriel de vous proposer un contrat pour les non signataires ou un avenant pour les signataires du premier contrat qui n’a pas fini d'être négocié par des représentants de producteurs et qui risquerait de vous être défavorable », expliquent les organisations de producteurs FMB Grand Ouest et Normandie. Elles rappellent à tous les producteurs livrant à Lactalis qu’elles sont en négociation depuis plusieurs années avec l’industriel. Elles ont par ailleurs déjà déposé leurs propositions à celui-ci, conformément aux derniers textes législatifs du 26 janvier 2019.
Afin d’être couverts et de répondre à cette obligation de proposition de contrat ou d’avenant, il suffit donc aux producteurs de contacter l’OP et d’y adhérer. En outre, FMB informe également les producteurs des laiteries Savencia, Sill/Malo, Vaubernier et Milleret qu’un projet de contrat cadre a été déposé auprès de leur industriel. Il suffit encore une fois aux producteurs de contacter les OP FMB et d’y adhérer pour bénéficier de la démarche commune.
« Nous insistons sur le fait que le regroupement des producteurs en OP transversales est la meilleure manière de leur assurer une rémunération équitable et une représentativité légitime face aux industriels et que nous poursuivons, en ce moment même, les négociations afin d’élaborer un contrat le plus équilibré possible. »
Ils rétrofitent un John Deere en électrique : le verdict après un an d’utilisation
L’armoricaine, support de formation au lycée La Touche
La dégradation de la conjoncture menace le prix du lait
Grâce à une rampe de chargement, Patrick Feuillet paille « avec un seul tracteur »
Herbe et pâturage : une réponse aux enjeux d’aujourd’hui et de demain
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
Comment préparer une vache à la césarienne
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Après la Prim’Holstein, la Génétique Haute Performance débarque en Normande
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine