Selon Idele, seule la France traverse des turbulences sur son marché bio. Sur juillet 2020-2021, sa collecte progresse de 11 % contre + 1 % en Autriche, + 3 % en Allemagne et + 4 % au Danemark qui sont les trois autres principaux pays bio européens. Pour les acteurs français, il faut faire le gros dos durant deux ans, le temps que la croissance du marché absorbe les excédents actuels. Cela passe par des actions collectives de promotion et du lobbying sur la restauration collective pour dynamiser le marché. Le Cniel planche actuellement dessus. La modération des volumes est l’autre solution. Producteurs et industriels sont d’accord sur le principe mais à quelles conditions ? Les discussions de fin d’année vont être déterminantes.
Le casse-tête des excédents laitiers bio
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