La hausse saisonnière de la collecte a été limitée cette année par la météo froide et humide de mars et début avril. Les mises à l’herbe ont été retardées. Depuis la mi-mars, le niveau de la collecte est passé sous celui de 2017. Cela donne un pic très écrasé et dès maintenant, nous abordons la phase descendante. Comme en Allemagne ou en Grande-Bretagne, il n’y a pas eu l’afflux de lait que l’on pouvait craindre.
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