Depuis la fin janvier, les opérateurs belges et allemands sont aux achats. Alors que la collecte est toujours en retrait par rapport à l’an dernier, l’offre reste limitée et les prix sont repartis à la hausse. À 430 € et plus, il n’y a que ces opérateurs qui ont un vrai intérêt à acheter, ce lait étant transformé dans leurs usines en beurre-poudre, dont les cotations sont au plus haut. On voit aussi des laiteries françaises acheter, mais à reculons. La plupart sont en effet incapables de marger sur le marché PGC France avec du lait à ce prix-là. Elles n’achètent que si leur propre collecte fait défaut, afin d’éviter de payer des pénalités à défaut de respecter leur contrat de livraison aux GMS…
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