En février, la collecte nationale était encore en recul de 2,6 % après un mois de janvier très creux (- 3,4 %). Les sondages hebdomadaires de FranceAgriMer montrent que le recul se poursuit en mars et début avril. La météo froide, l’envolée des coûts de l’aliment et un prix du lait qui n’a rien de motivant peuvent expliquer en partie cette baisse de la production. Il faut y ajouter des éléments plus structurels avec un cheptel historiquement bas : - 2 % au 1er mars.
Pas de rétablissement printanier de la production
Article réservé aux abonnés.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
Le marché du lait Spot s’agite avec la rentrée
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique