Le début d’année a été atypique avec des laiteries vite revenues aux achats pour compléter leur collecte. Ce n’est à l’accoutumée que mi-janvier qu’elles se réveillent, après le creux des fêtes. L’explication tient à ces GMS elles-mêmes vite de retour aux commandes, pour satisfaire la demande de consommateurs continuant de se presser dans leurs magasins. Si on a vu le prix se redresser plus rapidement que d’habitude, c’est aussi que les volumes disponibles ont fait défaut. D’où l’absence de cotations dans la moitié sud. Même dans le Grand Ouest, le fait est que la collecte peine toujours à se redresser et est nettement en retrait par rapport à l’an dernier.
(1) Prix départ quai usine (citerne de 25 000 l)
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
Le marché du lait Spot s’agite avec la rentrée
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique