Pour les semis 2020, la gamme maïs continue de s'étoffer, et notamment pour l'agriculture biologique.
« Initiés depuis 1995 en Autriche au climat continental, les programmes de sélection maïs de Saatbau ont montré sur l'ensemble de l'Europe leurs capacités d'adaptation », présente Jean-Philippe Courreau, responsable développement France. « Un atout face à des étés de plus en plus marqués et contrastés en France. »
En maïs fourrage, le semencier poursuit le développement de ses variétés phares comme Brigado (« excellente vigueur et très bon niveau d'UFL), Talentro (« du potentiel et des UF ») ou Abraxo en demi-précoce. Leonido (« fort potentiel et rusticité) et Filmeno (« très bon potentiel UF/ha) viennent enrichir la gamme pour les semis 2020.
La nouvelle inscription Agendo vient également compléter la gamme des précoces, aux côtés de Cyrano, Ferreto, Amello et Casandro. Sur le créneau très précoce, Astardo (mixte) rejoint Marcamo (« régularité »), Honoro (« excellent en vigueur ») et Carleso.
Sur le marché grain, la gamme est constituée « entre autre en corné-denté de Astardo, Amello et Brigado. En grain denté, Artenyo, Vestas et Corasano confirment leur bon potentiel et leur régularité ». Deux nouveautés font aussi leur entrée sur ce créneau : Coronado « adapté aux situations stressantes » et Multipel « plutôt destiné aux hauts potentiels ».
Fort de sa génétique autrichienne, Saatbau porte un attachement particulier à l'agriculture biologique. Le semencier entend d'ailleurs « conforter sa place de semencier bio multi-espèces avec 15 variétés de maïs bio disponibles pour la campagne 2020 », ajoute Jean-Philippe Courreau.

Tendances saisonnières : l’hiver 2025-2026 sera-t-il pluvieux ou sec ?
Le salon AgriSima 2026 n’aura pas lieu !
Il intègre 5 % de pommes de terre dans son silo de maïs ensilage
Fermeture de l’export de bovins : « les acheteurs vont en profiter pour faire baisser les prix »
Sodiaal adapte son prix face à la dégradation des marchés
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Avant même la ratification, les importations de viande du Mercosur bondissent
Gestion des IVV : « 2 veaux en plus par an, c’est 3 400 € de gagnés »
Y a-t-il vraiment un plafond de verre pour le prix de la viande bovine ?