Non, car ces critères sortent de la réflexion sur la segmentation. Ils font partie du socle de base du plan de filière France Terre de lait signé par toutes les entreprises. Leur évaluation, intégrée à la charte des bonnes pratiques d’élevage, constituera un standard pour l’accès au marché des produits laitiers. L’objectif est que 100 % des éleveurs soient audités au plus tard en 2025 par des techniciens agréés. Ces seize indicateurs d’intérêt technico-économique tiennent compte de la diversité des systèmes. Chaque exploitation sera notée de 0 à 100, en fonction du respect des cinq libertés fondamentales. Ainsi, il n’y a, par exemple, pas d’obligation de pâturage. C’est de la segmentation qui pourra librement être discutée entre les producteurs et leur laiterie. »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
FCO : le Grand Ouest en première ligne
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’agriculture biologique, marginalisée d’ici 2040 ?
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou