« Nous entendons maîtriser les volumes de lait après 2015. Ce qui signifie pour chaque coopérative, connaître et piloter les volumes dans une stratégie approuvée par ses associés coopérateurs. L'apport total n'est pas une contrainte, mais la clé de voûte qui empêche l'injection de volumes non maîtrisés dans des circuits parallèles et les destructions de valeur à en craindre. Parlons plutôt de laits supplémentaires qu'excédentaires pour une coopérative dont la finalité est le développement de la production en valeur et en volume. Ils doivent être anticipés de façon à construire un nouvel équilibre entre les nouveaux marchés potentiels, les capacités industrielles et la hausse des volumes produits. En théorie, il n'y a pas lieu d'aller plus loin dans la limitation des volumes quand la stratégie est partagée et que priment la solidarité et l'intérêt collectif. Dans la pratique, des garde-fous pourraient s'avérer utiles. Nous y travaillons sur un cadre que chaque coopérative pourra ou non décliner selon ses besoins. »
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