« Notre intérêt pour une OP transversale de bassin est avant tout pragmatique. Dans une zone à faible densité laitière, menacée par un risque de déprise, notre volonté est de sécuriser nos approvisionnements à proximité de nos sites de transformation, pour assurer la pérennité de l'entreprise. Aussi, il nous paraît souhaitable que les interprofessions reconnaissent les OP dans leur collège producteurs, pour être le lieu où seront débattus collectivement des objectifs de gestion des volumes de collecte et de leur redistribution. Pour protéger les PME et les producteurs des bassins à faible densité laitière, dans un environnement fortement concurrentiel, il est primordial de maintenir ce débat interprofessionnel. Or, les OP verticales par laiterie sont une négation du débat interprofessionnel. Après 2015, nous souhaiterions que ce mode de fonctionnement régional puisse être retranscrit au niveau national, afin que le Cniel joue un rôle d'ordonnateur de la gestion des volumes, en phase avec le marché. »
Une concession perd la carte Fendt, une armada de tracteurs part aux enchères
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?
« Mieux vaut bien négocier la future Pac que craindre l’accord avec le Mercosur »