PARTIE BIEN ENGAGÉE MAIS PAS GAGNÉE

Les systèmes foin-regain haut-saônois qui doutent de voir l'emmental grand cru retrouver sa splendeur d'antan, sauront dans six mois s'ils peuvent se rabattre sur le gruyère. D'ici là, Paris aura ou pas trouvé un accord avec les Etats-Unis, la Nouvelle- Zélande et l'Australie qui s'opposeraient à la demande d'IGP du gruyère français. Comme prévu, ils estiment que le gruyère est un produit générique qui ne peut pas bénéficier d'une protection de son nom par l'UE. En cas de désaccord persistant, ce sera à la Commission de trancher. Signes encourageants pour les défenseurs de l'IGP gruyère : aucun des 27 membres de l'UE ne s'y est opposé, pas plus que la Suisse dont le gruyère jouit d'une AOC.

Aperçu des marchés
Vaches, charolaises, U= France 7,05 €/kg net +0,06
Vaches, charolaises, R= France 6,92 €/kg net +0,08
Maïs Rendu Bordeaux Bordeaux 190 €/t =
Colza rendu Rouen Rouen 465 €/t +3

Météo
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La tuberculose bovine fait frémir les éleveurs bas-normands

Maladies
Thomas Pitrel dans sa prairie de ray-grass

« La prairie multi-espèce a étouffé le ray-grass sauvage »

Herbe

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