« Les produits industriels ne sont plus sur une logique de traitement des excédents mais sur une dynamique de croissance de marché, en particulier les poudres sur le grand export. Nous voulons saisir cette opportunité pour répondre au souhait de nos adhérents de produire plus à l'avenir. Comme nos capacités de séchage sont saturées, il nous faut investir dans de nouvelles tours. Avant de prendre une telle décision, nous avons besoin de plus de lisibilité. Pour nous, l'indicateur de valorisation beurre-poudre du Cniel ne reflète pas la réalité. Il faut actualiser les coûts d'investissement et d'exploitation. Le mode de calcul pour le prix moyen doit mieux intégrer la volatilité du marché. Notre démarche n'a aucune arrière-pensée concurrentielle. Nous voulons aborder la question des volumes additionnels de façon interprofessionnelle et transparente. Elle concerne l'ensemble de la filière. Si notre demande est jugée irrecevable, nous serons amenés à en tirer les conséquences pour nos orientations. »
Une concession perd la carte Fendt, une armada de tracteurs part aux enchères
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?
« Mieux vaut bien négocier la future Pac que craindre l’accord avec le Mercosur »