Contrairement aux idées reçues, les céréaliers ne prennent pas plus de vacances que les éleveurs. D’après nos sondages en ligne, un agriculteur sur deux a pris au moins trois jours de vacances en 2015.
48 %des agriculteurs sont partis en vacances en 2015, c’est la même proportion que les ouvriers français. La même question a été posée sur Web-agri.fr, site spécialisé en élevage, et sur Terre-net.fr, site généraliste agricole orienté sur les grandes cultures. Bien qu’il soit impossible de savoir qui des « éleveurs » ou des « céréaliers » potentiels se cachent derrière leurs écrans, les résultats de ces deux sondages* sont étonnamment proches.
Près d’un agriculteur sur deux part en vacances, mais rares sont ceux qui quittent la ferme plus de quelques jours. 21 à 22 % ont quitté leur exploitation durant moins d’une semaine cumulée sur l’année, 21 à 22,4 % sont partis entre une et deux semaines. 7,6 à 7,8 % ont pris plus de 15 jours de congés.
A titre de comparaison, 60 % des Français partent en vacances selon les données Crédox (juin 2014). Un chiffre qui masque les inégalités puisque 40 % des personnes aux revenus inférieurs à 1 200 euros mensuels ont quitté leur domicile pour des congés en 2014, contre 86 % de celles qui disposent de plus de 3 000 euros par mois.
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
« Nos vaches produisent en moyenne 16 200 kg de lait »
Les refus de dossiers de financement se multiplient dans les concessions agricoles
Viande bovine : + 8 % en rayon, contre + 34 % payés aux producteurs
Le drenchage, la solution pour réactiver le rumen
Le lait sur le marché Spot ne vaut presque plus rien
Les systèmes robot de traite redeviennent plus compétitifs que les salles de traite
« Certes tout n’est pas tout beau tout rose, mais il faut positiver ! »
« Bloquer les abattages, c’est risquer la dermatose bovine dans toute la France »
L'UE promet de mieux contrôler ses importations agricoles
Économie, travail, environnement : « S’installer en lait 100 % herbe, mon triplé gagnant »