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Engorgement des marchés, baisse des prix, pertes de revenu... Les éleveurs n'ont pas fini de subir, par ricochet, les effets de l'embargo russe, comme l’expliquent plusieurs articles de Terre-net Magazine n°40.
Il a suffi de quelques jours pour que l'Europe subisse l'impact de l’embargo russe. Les agriculteurs européens, et notamment les éleveurs, sont les premières victimes. Les filières les plus exposées sont les viandes et préparations à base de viandes et les produits laitiers, comme l’explique l’article "Embargo russe : que des perdants" dans la rubrique En avant marge (p. 18-19). Ce blocus « va conduire la Russie à passer des contrats hors de l’UE », s’inquiète Thierry Pouch, économiste à l’Apca, dans une tribune parue dans Impact (p. 12-13). « L’Union européenne se serait-elle tirée une balle dans le pied ? », poursuit-il.
L’embargo russe suscite aussi de vives inquiétudes sur le terrain. Pour preuve : le nombre de posts sur ce sujet sur les forums de Web-agri.fr. Paroles de lecteurs (p. 9) reprend une partie de la discussion.
Eleveurs et professionnels croient en l’avenir de leur filière
Autre inquiétude majeure pour les éleveurs en ce moment : la suppression des quotas laitiers en avril 2015. Malgré tout, des jeunes s’installent en production laitière : ils croient en l’avenir de la filière et investissent. Retrouvez leurs témoignages dans la rubrique Syndic’arène (p. 10-11).
Des initiatives locales montrent aussi que des professionnels se mobilisent pour leur filière. En Dordogne, le Pôle d’excellence rurale cuir tente l’expérience d’aider financièrement les producteurs adhérant à une charte qualité (lire la rubrique Inflexion p. 16-17). L’objectif : améliorer la qualité des peaux pour répondre à la demande du marché français du luxe.
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