Ces dernières semaines ont été marquées par une envolée des cours des matières premières. Si certains regrettent d'avoir vendu trop vite leur blé, du côté des éleveurs, les yeux sont rivés sur les cours des tourteaux.
Alors, mieux vendre ou mieux acheter, quel est le plus important ? Dans certains élevages, mieux vaut se focaliser sur les achats d'aliments car les économies peuvent être conséquentes. En ce qui concerne le tourteau soja, bon nombres d'articles sont déjà parus sur les alternatives possibles.
Les voici (cliquez sur le bouton "+" puis sur le lien qui vous intéresse pour consulter l'article) :
Si vous ne parvenez pas à cliquez sur l'infographie, voici les liens des articles :
- Tourteau de colza :
> Pour remplacer le soja, le tourteau de colza est gagnant, que ce soit pour faire du lait ou pour engraisser
> Quelle complémentation azotée adopter en alimentation sans OGM ?
- L'autonomie protéique via les fourrages :
> Anton Sidler (61), LVH : « 25 litres de lait par jour sans tourteau c'est possible »
Également > Légumineuses, graminées, méteil, maïs grain : quelles pistes pour mon système ?
- Les protéagineux :
> Féverole, lupin et pois : ces graines ont toute leur place dans les rations
Et > Des graines protéagineuses pour une complémentation 100 % made in France
- Les coproduits :
> Le corn gluten feed pour remplacer le tourteau de soja
> Quel intérêt des drêches dans la ration des vaches laitières ?
Il intègre 5 % de pommes de terre dans son silo de maïs ensilage
Tendances saisonnières : l’hiver 2025-2026 sera-t-il pluvieux ou sec ?
Fermeture de l’export de bovins : « les acheteurs vont en profiter pour faire baisser les prix »
Récolte 2025 : « une situation particulièrement alarmante » pour les producteurs de maïs grain
Y a-t-il vraiment un plafond de verre pour le prix de la viande bovine ?
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine
Logettes ou aire paillée ? Comment sont logées les vaches laitières françaises
Après la Prim’Holstein, la Génétique Haute Performance débarque en Normande
Avant même la ratification, les importations de viande du Mercosur bondissent
Avec 1 % de marge nette, l’industrie laitière française « fragilisée »