« Nous espérons démarrer les travaux de notre méthaniseur (80 kWe en voie liquide) fin février. Autre innovation : la mise en place du semis direct. Le colza et une partie du blé ont été semés avec un matériel acheté en Cuma à quatre exploitations. Il a été utilisé cet automne dans de bonnes conditions avec des surfaces emblavées plus importantes que prévu. Le coût de l’utilisation du semoir et du tracteur en Cuma s’est établi à 50 €/ha sur la base d’une durée d’amortissement de dix ans (+ 7 litres de carburant par hectare, contre 25 litres ordinairement en semis classique). Cette nouvelle façon de faire, pour laquelle Philippe s’est formé, a suscité un peu de curiosité, voire un peu de scepticisme dans le secteur. Mais aujourd’hui, malgré les fortes pluviométries, les colzas sont beaux ! Ce printemps, nous espérons implanter en direct une partie de nos sojas, puis des couverts et des ray-grass. »
« Un printemps chargé en perspective »
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