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Au 20 août, la production cumulée des prairies permanentes depuis le début de l’année est inférieure de 31 % à celle de la période de référence 1989-2018, indique Agreste dans son dernier point de conjoncture Prairies.
L'absence d'eau et les chaleurs caniculaires des derniers mois ont fortement impacté la pousse de l'herbe cette année. La pousse cumulée des prairies permanentes est inférieure de 31 % à celle de la période 1989-2018, et « c’est, à cette période, le rendement le plus faible depuis 2003 », précise Agreste.
« Les régions fourragères (RF) les plus affectées se situent aux extrémités nord et sud-est du pays, où le déficit pluviométrique a été le plus important depuis le début de l’année. En cumulé, la pousse de l’herbe atteint 40 % du niveau normalement atteint en cette période de l’année en Paca et est proche de 60 % en Occitanie, dans les Hauts-de-France et le Grand-Est. Dans les autres régions, elle varie entre 66 et 78 %. Alors qu’au 20 août la pousse cumulée atteint normalement 79 % de la pousse annuelle de référence, elle n’est que de 54 % cette année. »
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